Anonyme [1649], LE CAVALIER D’OVTRE-MER. , françaisRéférence RIM : M0_660. Cote locale : C_2_26.
Le Paysan.
Ie suis bien aagé de cent ans, Mais ie n’ay veu qu’en d’autres temps Si ruineux qu’ils peussent estre Le vallet soit deuenu maistre, Mais cettuy-cy le tasche bien, Car vraiment il n’espargne rien, Pour s’esleuer sur la Couronne Et encore qui plus luy donne De hardiesse & de credit, C’est que rien ne luy contredit La Reyne le supporte mesme, Quelques Princes en font de mesme, Mais ie veux voir que quelque iour Le malheur aura son retour, Et que cette maudite enuie Luy vaudra l’honneur & la vie.
Le Caualier.
De fait, on ne sçauroit iuger Qu’il ne viue dans le danger,
Anonyme [1649], LE CAVALIER D’OVTRE-MER. , françaisRéférence RIM : M0_660. Cote locale : C_2_26. |