Anonyme [1649], SVITTE DES MAXIMES MORALES ET CHRESTIENNES. , françaisRéférence RIM : M0_2427. Cote locale : A_6_9.
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vne infinité de moyens : Mais de satisfaire à Iesus-Christ
pour les outrages qu’il à receus en
sa personne au Sacrement Adorable de son
Corps, arquebuzé & foulé aux pieds : & de
rendre aux filles la pudicité, qui leur a esté rauie
auec tant d’insolence, en la presence mesme
de celuy qui doit estre le Iuge & le vengeur
d’vne injure si atroce ; Ie demande auec
qu’elle monnoye on peut s’en acquitter, &
quelle penitence, suiuant les Canons de l’Eglise
& l’ordre du Concile de Trente, peut
recompenser ces defauts, dont le simple recit
faict horreur & ne peut estre escouté, qu’auec
douleur ? O Dieu ! O Sauueur ! Vn rayon
de cette lumiere dont la chaleur change les
cœurs.

 

FIN.

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Anonyme [1649], SVITTE DES MAXIMES MORALES ET CHRESTIENNES. , françaisRéférence RIM : M0_2427. Cote locale : A_6_9.