tout Paris, doit la
possession de son bõ heur comme
à son seul liberateur, & si iamais
nous triomphons de nostre
ennemy nous en serons
eternellement redeuables au
bras victorieux de ce Prince qui
combat si genereusement pour
nostre liberté, & hazarde si souuent
sa vie pour nous deliurer de
la tirannie d’vn Ministre : apres
tant de faueurs & de bien faicts,
pourroit-il se rencontrer quelque
François s’il n’estoit mal affectionné
à vostre Altesse & ennemy
de la felicité de sa patrie,
qui vous refuse ses vœux pour la
durée de vostre contentemẽt,
& qui est-ce de nous Madame
qui ne doiue souhaitter à vostre

Page précédent(e)

Page suivant(e)