seruice de vostre Altesse, qu’il n’est point d’Estranger
qui n’admire vos beautez, vos vertus,
& vostre naissance ; Qu’il n’est personne dans la
race Royale qui ne soit rauy de vous en voir
issuë & de vous appartenir ; Enfin qu’il n’est
point de Roy ny de Prince Estranger qui ne
vienne immoler leur vie à vos pieds, & consacrer
à vostre Altesse, comme à vne Deesse sur
terre, leurs Couronnes & leurs Sceptres.

Ce sont les sentimens veritables de toute
la terre, mais sur tout des Parisiens, qui conserueront
inuiolablement toute leur vie la precieuse
memoire des obligations qu’ils ont à
vostre Altesse, pour auoir embrassé leurs interests
auec tant de bonté, de douceur & de sagesse.

FIN.