maudissent le iour auquel il y est entré, il a
tres-humblement supplié le Roy de trouuer
bon qu’il se desiste du Ministere & du Gouuernement
des affaires de son Estat, puis
que tous les François blasment iustement sa
conduite, luy attribuent la cause que la paix
generale ne s’est point faite, & de tous les
mal-heurs qui s’en sont ensuiuis, & lui permettre
de se retirer en lieu où il puisse viure
en toute asseurance & liberté : Sçauoir,

A Venise.

A Auignon.

A Cazal.

A Pignerolle.

A Sedan.

Ou en tel autre qu’il plaira à sa Maiesté luy
commander, & où il aura tousiours l’affection
portée à son seruice pour la grande
obligation qu’il a à sa Majesté de l’auoir vn si
long-temps maintenu & protegé contre ses
ennemis, qui sont tous les peuples de la
France.

Que sa Maiesté aura agreable de le faire
iustifier en ses Cours de Parlement, afin que