Anonyme [1649], LES SEPT ARTS LIBERAVX DE LA COVR. En Vers Burlesques. , françaisRéférence RIM : M0_3659. Cote locale : C_2_12.
Le quatriesme des Arts liberaux de la Cour.
Aristote plein de sçauoir, Encore aujourd’huy nous fait voir L’estat de son esprit sublime, Car il nous monstre la maxime Et l’ordre que l’on doit tenir Si l’on desire paruenir Au but de raisonner sans faute, Et de s’acquerir la plus haute Façon de bien argumenter, Et de diuiser sans douter, De n’obseruer pas la methode Dont il nous a tracé la mode. Ha nos Courtisans auiourd’huy N’argumentent pas comme luy Ils ont des nouuelles maximes Pour composer leurs Syllogismes, Des figures, des nœuds diuers, Des termes du droict, du reuers, L’exemple auec le diligeme, Mais par vn malheur tres-extreme Leurs veritables argumens Sont tousiours pleins de faux sermens.
Le cinquiesme des Arts liberaux de la Cour.
Ie sçay que l’on met en pratique Ordinairement la Musique,
Anonyme [1649], LES SEPT ARTS LIBERAVX DE LA COVR. En Vers Burlesques. , françaisRéférence RIM : M0_3659. Cote locale : C_2_12. |