Saint-Julien,? [?] [1649], LE SEPTIESME COVRRIER FRANCOIS, TRADVIT FIDELLEMENT en Vers Burlesques. , françaisRéférence RIM : M0_2848. Cote locale : C_2_42_07.
Vendredy l’on receut nouuelle Qui ne fut ny bonne ny belle Que le Sieur Comte de Grancé Sans que nous l’eussions offensé Auec vne trouppe ennemie Tenoit le siege deuant Brie : Qu’à l’abord nostre Gouuerneur Bourgogne, vn tres-homme d’honneur Auoit fait iusqu’à l’impossible Percé l’ennemy comme vn crible Et bien abbatu son caquet A coups de canon & mousquet : Mais qu’vne bresche large & grande Que fit la Mazarine bande Et le desespoir du secours Qui ne pouuoit pas auoir cours A cause des mauuais passages Des defilez & marécages, Qu’il estoit besoin de franchir Et que nous ne pouuions gauchir Praslin les tenant auec forces ; Surquoy priuez de ces amorces Le Gouuerneur au pis aller Resolut de capituler Ayant fait tout ce qu’on peut faire
Saint-Julien,? [?] [1649], LE SEPTIESME COVRRIER FRANCOIS, TRADVIT FIDELLEMENT en Vers Burlesques. , françaisRéférence RIM : M0_2848. Cote locale : C_2_42_07. |