Saint-Julien,? [?] [1649], LE QVATRIESME COVRRIER FRANÇOIS, TRADVIT FIDELLEMENT en Vers Burlesques. , françaisRéférence RIM : M0_2848. Cote locale : C_2_42_04.
Apres auoir leu ces Arrests, La Cour voyant les interests Qu’elle auoit d’instruire la France Et sçachant le peu de créance Que donnoient les Courriers communs, Choisit de son corps quelques-vns Iusqu’à six, qu’il luy plût commettre Pour escrire & receuoir lettre Par le païs de tous costez Où leurs pacquets seront portez.
C’est ce iour si ie ne me blouze Que l’Archeuesque de Thoulouze Est arriué de S. Germain Si ce ne fust le lendemain ; Mais, nenny : ce fut ce iour propre Qu’elle de son mouuement propre, Prescha la bonne intention De la Cour, & l’affection De Paris pour le Roy de France En forme d’vne Remonstrance, Sans qu’on l’écoutast, il aduint Que le zelé Prelat reuint.
Ce iour merite quelque notte
Saint-Julien,? [?] [1649], LE QVATRIESME COVRRIER FRANÇOIS, TRADVIT FIDELLEMENT en Vers Burlesques. , françaisRéférence RIM : M0_2848. Cote locale : C_2_42_04. |