S. T. F. S. L. S. D. T. [1649], LE POLITIQVE BVRLESQVE DEDIÉ A AMARANTHE. Par S. T. F. S. L. S. D. T. , françaisRéférence RIM : M0_2810. Cote locale : C_8_31.
Apres m’estre vn peu reposé, Sentant mon corps tout allegé, Ie tepassay dans ma memoire, Vne si pitoyable histoire. Pour la pouuoir bien exprimer, Ie raschay de la debroüiller, En tirant de la diuision. Vn ordre par la diuision. Ie commençay de cette sorte, Par vn qui auoit la gueule forte, Qui se faisoit bien remarquer, A son geste, & à son parler. Auec vn grand souspir deuant, Puis tout d’vn coup en s’escriant ; Frapant des pieds contre la terre, Iuroit, pestoit contre la guerre : Vne autrefois leuant les yeux, Regardoit droit deuers les Cieux,
S. T. F. S. L. S. D. T. [1649], LE POLITIQVE BVRLESQVE DEDIÉ A AMARANTHE. Par S. T. F. S. L. S. D. T. , françaisRéférence RIM : M0_2810. Cote locale : C_8_31. |