Entre les mains d’vn Estranger,
Qui desire le partager,
It le rendre Democratie,
Car son esperance est bastie,
Sur sa ruine & son débris,
D’où vient qu’il a quitté Paris,
Et par vne grande magie,
Plustost que par Theologie,
Il a tasché de peruertir
Plusieurs Princes à consentir
A l’enleuement sacrilege
De nostre Roy sans priuilege,
De ses tuteurs du Parlement,
Si vous auez d’estonnement,
De ne voir plus que les riuieres,
Chargées des fruicts des frontieres,
Rejoüissent les Matelots,
Et qu’elles tiennent en repos,
Le plus cher peuple de la France,
Grand mercy à son Eminence,
Qui fait ce païs rauager,
Et ruiner par l’Estranger,
Soubs pretexte que dans la guerre,
On ne peut garder vne terre,
Sans soufrir beaucoup des despends,
Il tient les esprits en suspends,

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