asseurances du soin que i’apporte à
faire diligenter mon Armée pour le
suiure de fort prés, & pour me rendre
en peu de temps auprés de Monsieur,
afin de vous tesmoigner à tous
deux & à toute la France combien
vos interests me sont chers, & auec
quelle passion ie veux embrasser &
soustenir la Iustice du party qu’il a
espousé pour appuyer les bons François,
ranger les meschans à leur deuoir,
& remettre le repos en cét
Estat par la Paix generale, qui doit
estre le fruict de cette guerre. Depuis
le faux bruit que l’on fist dernierement
courir d’vn accommodement
de Monsieur auec la Cour, on m’a
encores donné plusieurs aduis pour
tascher de me ietter dans la méfiance
touchant la bonne ville de Paris, sur
les diuerses factions que nos Ennemis

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