Anonyme [1649], LETTRE A MADAMOISELLE DE V. ESTANT A LA CAMPAGNE. En suite de la Guerre des Tabourets. , françaisRéférence RIM : M0_1811. Cote locale : C_4_47.
Mais c’est sur des cus trop s’estẽdre Ils pourroient enfin me surprendre : Ces Cus, sont des cus dangereux, Qui blessent quand on parle d’eux, Il n’est nul qui ne les redoute, Encore qu’ils ne voyent goutte. Laissons donc là ces cus hardis Qui font tout bransler dans Paris. Aussi bien toute leur furie Se tournera en raillerie, Et desia beaucoup de ses cus Sont d’accord à force d’escus.
Si i’osois dire, mais ie n’ose, En vers ce que i’ay leu en prose, Vous verriez l’Eglise à son tour Aussi broüillée que la Cour. Mais pourquoy ne vous le pas dire, Ou à tout le moins vous l’escrire,
Anonyme [1649], LETTRE A MADAMOISELLE DE V. ESTANT A LA CAMPAGNE. En suite de la Guerre des Tabourets. , françaisRéférence RIM : M0_1811. Cote locale : C_4_47. |