venir en sa bonne ville de Paris.

Et de fait leurs Maiestez gaignées par des
raisons si plaines de iustice & d’amour pour le
soulagement du peuple, auec paroles d’asseurances
que leur, resolution estoit de terminer
cette malheureuse guerre, & de mettre vn si bõ
ordre à dissiper ses troubles, que le peuple se
verroit respirer vn parfait repos, sans plus apprehender
la recheute dans la misere, & que pour
cét effet leurs Maiestez feroient continuellemẽ
trauailler à la Paix, comme elles font à present,
& chargeant Monseigneur le Cardinal de Retz
d’en donner toute bonne esperance au public,
comme il fait.

En quoy se void la malice des ennemis de
son innocence & fidelité, de descrier ainsi sa
conduitte, qui n’a iamais esté que pour le bien
public & s’entretenir en toutes leurs correspondances
auec les Parisiens, pour lesquels il a vne
inclination singuliere à leur procurer toute sorte
de prosperitez, à quoy faire il employera
tousiours ses exhortations publiques, & particulieres,
comme il appartient à la charge Pastorale
à laquelle il est destiné en cette qualité
de tres-digne Coadjuteur à l’Archeuesché de
paris.

FIN.