& y adjoûter ce que Sadite Altesse,
Monsieur le Prince, & le Parlement
trouueront raisonnable. Ce qui doit
estre avant trois iours au plus tard ;
d’où nous deuons esperer de iouir en
bref de cette Paix domestique absolument
necessaire pour paruenir à la
generale, mais encore de celle-cy, puis
que celuy que nous en auons toûjours
consideré comme l’obstacle & l’empéchement,
ne trouue que ce seul moyen
pour se maintenir, & se mettre à couuert
de la haine presque generale, que
sa mauuaise conduite, ou son malheur
luy ont attirée.

FIN.