Saint-Julien,? [?] [1649], LE TROISIESME COVRRIER FRANÇOIS, TRADVIT FIDELLEMENT en Vers Burlesques. , françaisRéférence RIM : M0_2848. Cote locale : C_2_42_03.
Ieudy vingt huict le Parlement Assemblé sur le compliment Qu’auoit fait celuy de Prouence Arresta qu’on fit Remonstrance Attendu l’Arrest d’Vnion, Au Roy, sur la creation De ce Semestre mis sans cause Contre les Loix, ce que dire ose La Cour qui iure hautement De ne connoistre nullement Ces Offices fraischement nées Et tient pour personnes priuées Tous ces Messieurs les frais ponus Et ces Iuges nouueaux venus.
Ce iour nous apporta Bethune Nouuelle qui n’est pas commune Sçauoir que son frere Charaut Allé s’en estoit au grand trot A Calais, Ville capitalle Pour la rendre anti-Cardinalle, Ce qu’il pourroit faire aisément Estant de son Gouuernement, C’est ce Charaut des Feüillantines Qui par les fourbes Mazarines Estoit depuis peu debouté Contre le droit & l’equité, Pour ne plaire pas à la Reine,
Saint-Julien,? [?] [1649], LE TROISIESME COVRRIER FRANÇOIS, TRADVIT FIDELLEMENT en Vers Burlesques. , françaisRéférence RIM : M0_2848. Cote locale : C_2_42_03. |