Questier, Mathurin, dit Fort-Lys [1649 [?]], CONCLVSION DV IOVRNAL POETIQVE DE LA GVERRE PARISIENNE. Dedié aux Conseruateurs du Roy, des Loix, & de la Patrie. Par M. Q. dit FORT-LYS. , françaisRéférence RIM : M0_1763. Cote locale : C_4_38_13.
Qui est-ce qui pourra nous fascher desormais, Puis que nous embrassons mignardement la Paix ? Qui seroit si hardy de nous porter nuisance ? Et qui molesteroit nostre libre puissance ? Seroit-ce l’Estranger ? Non, non, il ne sçauroit, Nous mener à courbet, ainsi comme il voudroit. Nul ne peut, orgueilleux, sur nous rien entreprendre, Qui nous attaqueroit, n’auroit qu’à se deffendre ; Et d’vn pas diligent nous tourner les tallons, Cognoissant qui nous sommes, & ce que nous vallons.
Sus, donc, soyons ioyeux, viuons en esperance, Et nous resioüissons du repos de la France : C’est maintenant qu’il faut nous donner le plaisir, De contempler celuy qui est nostre desir, C’est le DONNÉ DE DIEV, & le chery des cœurs ; C’est le Roy des François, qui seul les rend vainqueurs,
Questier, Mathurin, dit Fort-Lys [1649 [?]], CONCLVSION DV IOVRNAL POETIQVE DE LA GVERRE PARISIENNE. Dedié aux Conseruateurs du Roy, des Loix, & de la Patrie. Par M. Q. dit FORT-LYS. , françaisRéférence RIM : M0_1763. Cote locale : C_4_38_13. |