Anonyme [1652], LES CVRIEVSES RECHERCHES FAITES SVR LA VIE DE IVLES CESAR, POVR MONSTRER LES CONFORMITEZ DE MAZARIN, AVEC LES VICES DE CE ROMAIN, DONT IL PORTE VNE PARTIE DV NOM, LEQVEL EN EST LE SYMBOLE. , français, latinRéférence RIM : M0_855. Cote locale : B_12_35.
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LES CVRIEVSES
RECHERCHES
FAITES SVR LA VIE DE
IVLES CESAR,
POVR MONSTRER LES CONFORMITEZ
DE MAZARIN,
AVEC LES VICES DE CE ROMAIN,
DONT IL PORTE VNE PARTIE DV NOM,
LEQVEL EN EST LE SYMBOLE.

M. DC. LII.

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LES CVRIEVSES
recherches faites sur la Vie
de Iules Cesar, pour monstrer
les conformités de
Mazarin,
auec les vices de
ce Romain, dont il porte
vne partie du Nom lequel
en est le Symbole.

CE n’est pas pour obliger Mazarin
que ie fais cette comparaison, comme
on peut croire ; mais pour me
mocquer de l’impudence de quelques-vns
de nos Escriuains, qui
donnent les Epistres liminaires des
liures qu’ils dedient à ce Maraut déguise,
qui passe chez nous pour Cardinal, lesquels ont

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mis cette fausse Copie beaucoup au dessus de l’Original,
& voulu prouuer que ce premier Iules, qui fut le
Miracle de son siecle, & l’estonnement des suiuans,
n’auoit qu’vne estincelle du beau feu du Iules moderne,
& qu’vn leger crayon des vertus que cettuy-cy
leur sembloit posseder en vn souuerain degré de perfection :
Pour moy i’ay resolu de prouuer au contraire,
que comme il n’a que le commencement du nom
de l’autre en celuy de Iules, qui luy fut commun auec
beaucoup de faquins comme Mazarin, & non la fin
en ce nom fameux de CESAR, que nos Empereurs
d’Occident affectent encor auec tant de pompe &
d’ostentation, il en a tous les vices en effet, & pas vne
de ses vertus ; & pour rendre cette verité plus manifeste,
voicy ce que i’ay remarqué des conformitez du
destin de l’vn & de l’autre.

 

Premierement, ils nasquirent tous deux presqu’en
vn mesme climat : Le premier de parens mediocrement
riches ; & le second d’vne race tout à fait indigne,
& tous deux sous vn Astre qui les disposoit à
troubler le repos des autres hommes.

L’augure du nom qui tesmoignoit qu’ils deuoient
estre heureux, semble aussi se rencontrer esgal en
tous les deux, puisque Cesar tira son nom de Iule,
d’Iüle qui fut petit fils de Vetus de par Ænée son bon
Papa ; & Mazarin est surnommé Iules, ie croy parce
qu’il deuoit imiter Cesar dans son inclination amoureuse,
& bien faire valoir le talent comme luy. Ils
s’insinuerent aussi tous deux dans la fortune par des
moyens qui tromperent la prudence des plus adroits
qui les mesprisoient à cause de leur foiblesse apparente,

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& dans leur ieunesse esprouuerent beaucoup de
trauerses & de perils.

 

Cesar fut premierement à la solde sous le Questeur
Thermus en Orient, & Mazarin eut autrefois
l’honneur d’estre Alphere au Castel sainct Ange à
Rome.

Cesar seruit chez Nicomede Roy de Bithynie, à
diuers vsages ; & prostitua, dit-on, sa personne à la
lubricité de ce Roy ; & Mazarin de mesme a seruy
d’Estaffier à plusieurs Seigneurs Italiens & Espagnols
auec lesquels il n’a pas vescu plus chastement.

Cesar auant toute autre charge fut pourueu d’vn
Benesice de Prestre de Iupiter sous tiltre de Flames
d’iceluy ; & Mazarin a basty les fondemens de sa
fortune sur vn pareil principe, par l’inuasion de quelque
petit Benefice à Rome, qui les départ souuent
aux plus indignes.

Cesar fut premierement enuoyé de la Republique
en Espagne, pour en regir vne partie en qualité
de Vice-Preteur ; & Mazarin s’estant glissé dans cette
Prouince à l’ombre de la Mitre du Nonce du Pape,
s’y vint premierement monstrer à la fortune, qui
l’ayant trouué selon son cœur, & propre à faire de
grands maux dans le monde, commença de trauailler
à son accroissement pour le mettre au dessus de
tous ceux qui venans d’Italie comme luy, luy faisoient
ombre auparauant.

Cesar troubla cette Prouince par ses intrigues, &
se hasta d’en sortir pour vacquer à des emplois plus
importans ; & Mazarin ayant descouuert les secrets

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du Roy d’Espagne, en partit aussi promptement pour
s’en preualoir dans vne importante occasion, où pratiquant
les bonnes graces du defunct Cardinal de
Richelieu, pour auoir conserué Cazal à la France au
prejudice des interests de l’Espagne, il s’acquist vn
droict sur nos biens & sur nos vies, qu’il veut conseruer
ou perir.

 

Cesar de retour à Rome y fomenta les diuisions,
& ietta les yeux sur les Gaules pour en auoir le gouuernement,
auec dessein de conquerir par la guerre
celles de deçà les Monts ; & Mazarin ayant fait ses
pratiques sur le Pô, est venu de mesme les executer
sur la Seine, où il tonne encor auec autant de fureur
que iamais.

Cesar en dix ans qu’il mit à conquerir les Gaules
y donna plusieurs batailles, en changea l’ordre & le
gouuernement, parcourut en ce pais toutes les Prouinces
& toutes les Villes dont il se rendit le Maistre,
& fit par tout des maux incroyables ; & Mazarin, bien
que sans espoir de nous vaincre & de nous subjuguer,
de mesme depuis dix ou douze ans que nostre malheur
l’arreste en France, a fait ainsi de cruels rauages
en tous ses climats, ruïné beaucoup de nos villes, parcouru
toutes nos Prouinces, & rendu ce beau sejour,
qui fut autresfois celuy des plaisirs & des graces,
vn vaste champ de desolation & d’horreur.

Cesar vint tenir les Estats à Paris, qui lors estoit
tout renfermé dans l’Isle du Palais ; & Mazarin a eu
l’honneur d’estre long-temps Chef du Conseil en
cette illustre Cité, qu’il a remplie à la fin de seditions

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& de troubles, & qu’il a forcée de se déclarer sa mortelle
ennemie.

 

Cesar se seruit des richesses qu’il rauissoit dans
nos Prouinces, pour gaigner les cœurs de quelques-vns
des plus puissans d’entre les Romains, qu’il vouloit
engager dans ses interests, & tendre partisans de
sa faction, en leur fournissant dequoy faire des jeux
pour gaigner le peuple, ou bastu de superbes Palais,
du nombre desquels fut la Basi[1 lettre ill. ]que de Paulus, qui
ne cousta pas moins à bastir que quinze cens mille
liures ; & Mazarin ayant volé tout l’argent de France,
l’a fait transporter de là les Alpes pour le mesme
effet.

Cesar fournissant aux plus débauchez & gens qu’il
croyoit propres à seconder ses mauuais desseins, les
moyens de s’enrichir aux despens des plus gens de
bien, s’en fist des amis & des supports ; & Mazarin
ayant donné les biens du peuple à deuorer aux sangsuës
de Partisans, en a tiré des sommes immenses,
dont il a départy la moindre partie à quelques mercenaires
qu’il tient engagez pour faire la guerre à leur
Patrie, allegue pour toute excuse que de cette façon
il satisfait au conseil de l’Euangile, en ce qu’il ordonne
qu’on se fasse des amis de la manne d’iniquité.

Cesar vola le Capitole estant Tresorier, en faisant
mettre pareil nombre de liures de plomb en la place
d’autant de liures d’or qu’il en enleua, & dans le Portugal
premierement, puis dans nos Prouinces rauit
les dons que la pieté des peuples y faisoit voir, pillé
les Temples consacrez à la memoire des grands

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hommes, ou à l’honneur des Dieux, & quelquefois
mit des Villes à sac, bien qu’elles ne refusassent aucunement
d’obeïr à ses ordres, pour trouuer dans les
biens de leurs Citoyens cruellement massacrez, dequoy
fournir aux grands frais qu’il estoit obligé de
faire pour entretenir ses pratiques à Rome, & dans
tout le reste de l’Estat Romain ; & Mazarin ayant
espuisé nos peuples de biens par des extorsions insupportables,
a rauy tout ce qu’il a pû des biens d’Eglise
par vne infinité d’actes de simonie, & durant ses
guerres a fait piller à ses trouppes plusieurs Bourgs,
Villes & Villages pour leur tenir lieu de solde, & pour
les animer au carnage comme des oiseaux de leurre,
& des chiens de meute par cette espece de ioüissance.

 

Cesar fut choqué par le Senat de Rome ; & Mazarin
par le Parlement de France.

Cesar executa ses premieres entreprises sous
l’authorité de sa Republique ; & Mazarin abuse de
celle du Roy pour ruyner toute la France.

Cesar restablit la puissance des Tribuns à Rome
pour se seruir de leur audace à choquer l’authorité
du Senat ; & Mazarin ayant confirmé l’establissement
des Intendans dans les Prouinces pour le mesme
effet, apres leur destruction, s’est efforcé de transferer
au Priué Conseil, composé de ses plus affidez,
la puissance & la jurisdiction de toutes les Chambres
du Parlement, & mesme depuis quelques iours, pris
plaisir d’en establir vn à Pontoise, qui ne sera iamais
sedentaire à Mante ; ce qui monstre la grande auidité

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qui le presse de deuorer au plustost les biens de
tout l’Estat.

 

Cesar vendit des Royaumes, & l’alliance des
Romains à prix d’argent ; & Mazarin ayant fait le
mesme trafic en France, n’a iamais donné Benefice
qu’il n’ait retenu pension sur les reuenus.

Cesar deffit les Romains les vns par les autres ;
& Mazarin a tasché de tout son pouuoir de ioüer le
mesme tout aux Parisiens, témoins ceux de leur nombre
à qui l’on donne vulgairement le nom de Mazarins.

Cesar maria sa fille à Pompée pour auoir lieu de
le tromper sous pretexte d’amitié, & d’vsurper la
puissance souueraine, apres s’estre saisi par son moyen
des principales forces & forteresses de l’Empire ; &
Mazarin a marié, dit-on, vne de ses niepces au Duc
de Mercœur pour mettre la diuision dans la Maison
de Vendosme, & combattre cette illustre Famille par
son sang mesme.

Cesar fit perir le grand Pompée qui l’auoit tendu
vainqueur des aduersaires qu’il auoit dans Rome, &
qui l’auoit mis en possession de son Gouuernement
des Gaules, en vn temps où les principaux du Senat
par la ialousie qu’ils auoient de la puissance qu’il vsurpoit
peu à peu, paroissoient vnis au dessein de le destruire ;
& Mazarin ayant l’obligation de la vie au
Prince de Condé (qui se rendit son Protecteur en vn
temps où toute la France en armes conspiroit au dessein
de le perdre, & qui trahit mesme sa propre reputation
en cette entreprise,) s’est efforcé de le perdre

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en luy supposant des crimes, apres l’auoir fait indignement
arrester & conduire au Bois de Vincennes.

 

Cesar fut chassé de Rome par le premier Dictateur
perpetuel, vainqueur de la faction contraire ;
& Mazarin fut aussi chassé de France par le genereux
Prince de Condé qui reste à present en armes
pour l’obliger d’en sortir encore vne seconde
fois.

Cesar fut esleu par brigue, Souuerain Pontife, au
prejudice de deux des plus grands personnages de
Rome ; & Mazarin estant assez heureux pour porter
le Chapeau de Cardinal, au lieu que le mestier de
ceux de sa race estoit, dit-on, d’en faire pour le commun,
& mesme esté assez vain pour porter son orgueil
iusqu’a l’espoir de la Papauté.

Cesar dans les entreprises qu’il fit pour se rendre
Maistre de Rome, fit perir beaucoup de personnes de
marque, & perdit de son costé Curion qu’il aimoit
parfaitement ; & Mazarin ayant esté cause de la perte
de plusieurs Chefs & grands Capitaines tuez dans
les derniers combats qu’il a donnez vainement, dans
l’esperance d’opprimer Paris, vient de perdre Mancini
ses cheres delices, & le seul appuy de son pouuoir
chancellant.

Cesar fut blasmé non seulement pour le mal qu’il
faisoit luy-mesme, parce qu’il ne paroissoit orgueilleux
ny sier, mais pour celuy que ses amis dont Antoine
estoit le plus insolent, faisoient sous son authorité ;
& Mazarin a succombé sous le faix de la haine
publique, parce qu’il a soustenu les Partisans & le

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Duc d’Espernon, le premier fleau de la Guyenne,
qui traitant ceux de ce climat comme Florus fit autrefois
les Iuifs, les obligea de prendre les armes
pour se deliurer de sa tyrannie.

 

Cesar estoit le plus indifferent du monde pour
toutes sortes de Religions qu’il mesprisoit également,
ne croyant point en l’immortalité de l’ame ;
& l’on ne sçauroit douter que Mazarin ne soit le
plus grand impie du monde, puisque ses actions
choquent toutes les Loix de la Religion, dont ses
couleurs monstrent qu’il deuroit estre le plus ferme
appuy.

Cesar fut le plus curieux du monde de sa personne,
& s’entendoit le mieux au cajol ; & Mazarin
ayant appliqué souuent la ceruse & le fard à son visage
d’Ante-Christ, passe pour vn des meilleurs debiteurs
de colles qui soit en France, & sçait faire mille
touts de souplesse pour gaigner l’inclination des plus
coquettes.

Cesar aima singulierement les bijous & les pierreries,
& tous les riches ameublemens, iusques là que
Suetone rapporte qu’il ne fist voile en Angleterre
que dans l’esperance d’y trouuer des perles d’vne valeur
exquise, que suiuant vn bruit commun il croyoit
que la Nature eust renfermée dans cette Isle, dont les
Romains ne cognoissoient que le nom auparauant :
& le mesme Autheur asseure qu’il eut honte quelquefois
qu’on sçeust le prix que luy coustoient certaines
pieces de cabinet qu’il auoit acheptées au gré de
sa passion, de sorte qu’il deffendoit qu’on l’employast
dans le liure de sa despense ordinaire ; & Mazarin

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pour satisfaire à cette passion qui le presse auec vne
auidité beaucoup plus grande, s’est fait vn tresor
merueilleux de tout ce qu’il y auoit en France de
pieces rares de cette espece, & mesmes en a despoüille
l’Angleterre sans y faire voile, par l’achapt d’vne
escharpe d’vn prix inestimable, que la Reyne de
cette Isle refugiée en France, a esté forcée de luy
vendre ou engager pour vne somme d’argent peu
considerable.

 

Cesar eut des Maistresses par tout le monde ; &
Mazarin a promené son amour par toutes les regions
Meridionales de l’Europe.

Cesar eut beaucoup d’inclination pour les Reynes
aussi bien que pour le Sceptre, & fut amant & aimé
de deux ou trois ; & si le bruit commun est veritable,
Mazarin n’a pas manqué de bonne fortune en pareil
sujet.

Cesar fit la guerre d’Alexandrie pour l’amour de
Cleopatre, dont il estoit amoureux ; & Mazarin entreprist
la premiere guerre de Bordeaux en faueur
du Duc d’Espernon, parce qu’il pretendoit marier
vne de ses niepces au Duc de Candale son fils, & qu’il
esperoit que tous les deux accepteroient l’offre de
cette alliance auec ioye, en consideration d’vn secours
d’vne telle importance, donné malgré tant
d’obstacles & de difficultez, que Mazarin ne força
pas auec la mesme adresse que Cesar sceut venir
à bout entierement de tout ce qui trauersa son
dessein.

Cesar voulut que les femmes fussent communes,
& fist vne Loy tendante à cette fin, qu’vn de ses amis

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Tribun du peuple auoit ordre de publier quand cét
Empereur mourut ; & Mazarin ayant permis par
tout le viol à ses troupes durant l’vne & l’autre guerre,
dist autrefois par la bouche qui rend ses Oracles à
ceux qui s’en plaignoient, que les femmes ne sont
faites que pour seruir aux hommes, ce qui sans doute
a le mesme but.

 

On salua Cesar du nom de Reyne, & Curio mesme
dans quelque contestation qu’ils eurent ensemble,
osa le nommer le mary de toutes les femmes, &
la femme de tous les maris, & luy reprocher le sale
commerce qu’il auoit eu auec le Roy Nicomede en
sa ieunesse ; & plusieurs personnes de condition ont
autrefois galantisé Mazarin sur des sujets aussi reprochables
auec autant de verité que de franchise.

Cesar fut enfin l’objet de la raillerie vniuerselle, à
cause de ses lubricitez messeantes à vn homme de son
aage, & pour son ambition démesurée dans son desir
de porter le Sceptre ; & Mazarin presque pour les
mesmes sujets a veu sa reputation deschirée par vne
infinité d’escrits, qui sont le diuertissement de la
France, & l’amusement mesme des plus serieux.

Cesar fut tué par le fils d’vne Dame qu’il auoit
aimé ; & Mazarin n’est pas exempt du peril de receuoir
vn traitement pareil d’vne main cherie, & dont
il a tasché iusques icy de se faire vn support contre la
violence de ses ennemis declarez.

Cesar portoit impatiemment le desplaisir d’estre
chauue, sçachant qu’on le designoit par cette

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marque, & que ses soldats en son triomphe des
Gaules auoient mesmes osé chanter hautement ce
Vers,

 

Romani seruate vxores mœchum caluum adducimus.

D’où vint que de tous les honneurs qui luy furent decernez
par le Senat, il accomplit plus volontiers
celuy d’vne Couronne de Laurier qu’il deuoit porter
tousiours ; & Mazarin au lieu d’vne Couronne de
Lierre qu’il deuroit porter auec raison comme Bacchus,
puis qu’il excite comme luy la fureur des Menades,
portant tousiours vne calotte qui couure à demy
son defaut, ne manque pas de cette marque d’vne
stupide lubricité.

Enfin Mazarin merite veritablement le nom de
Iules.

FIN.

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