Dubosc-Montandré, Claude [?] [1652], LE SCEPTRE DE FRANCE EN QVENOVILLE Par les Regences des Reynes, faisant voir par de naifues representations d’Histoires. I. Les desordres du pouuoir absolu des femmes en France, par. II. La mauuaise Education des Roys. III. La pernicieuse conduitte de l’Estat. IV. Les horribles factions qui s’y sont esleuées, & qui ont souuent mis cette Monarchie à deux doigts de sa ruine. V. Et le moyen infaillible de remedier à tous ces desordres, si l’on veut s’en seruir efficacement & dans l’vsage des Loix Fondamentales. , français, latin, italienRéférence RIM : M0_3598. Cote locale : B_4_8.

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reines de France, ou les Régentes", paginée de 1 à 96. La page 96 se termine par huit vers latins "ad effigiem regis Ludovici XIV", et au-dessous le mot "Fin". On y a ajouté en réclame "il n'y", deux mots 
qui commencent la page 97. J'ajoute que la "Régence des reines", etc., qui s'étend de Clotilde à Anne d'Autriche, fait le plus pompeux éloge de cette dernière et de son gouvernement, que l'auteur ou plutôt l'arrangeur du "Sceptre de la France en quenouille" attaque avec la plus grande 
violence. Que conclure de ces observations ? Évidemment qu'il y a là deux opuscules d'un esprit différent, et qui par conséquent ne sont pas ou ne doivent pas être de la même main. Mailly cite un court passage du "Sceptre de la France en quenouille" dans la note de la page 60 de son Ve volume. Je ne sais pas pourquoi M. Leber a fait à ce pamphlet l'honneur de le classer dans son "Catalogue" parmi les ouvrages de "droit public".</p>]]></note></interpretation>
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