Bourbon, Armand de (prince de Conti) [signé] [1652], LETTRE DE MONSEIGNEVR DE CONTY, A SON FRERE MONSEIGNEVR, DE CONDÉ, Sur la Pacification des affaires de la Guyenne, & son acheminement vers Estampes. De Caloche, le 27. May 1652. , françaisRéférence RIM : M0_1993. Cote locale : C_12_20.
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vous, & que le Parlement de Bordeaux
a reconneu la faute qu’il
auoit commise contre ses habitans
& ses deffenseurs ; tout est
icy paisible. Mais Tolose veut auoir
le respit du suscez que le
Roy pourra auoir deuant la ville
d’Estampes ; Il ne tient plus qu’à
vous de faire voir ce que nous
sommes ? Et j’ose bien dire, que
Mazarin n’est plus en credit en
ses quartiers, comme il a esté par
cy-deuant. Les Peuples de ce
pays-cy sont humiliez au respect
qu’ils portent à mon Cousin le
Duc d’Orleans, & de vous deuant
moy ; Ie n’ay treuué aucun
indice contre-eux de les chastier,
puis qu’ils se sont renommez vos
seruiteurs ; Tout est pacifié en ce


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