Questier, Mathurin, dit Fort-Lys [1649], SVITTE DV IOVRNAL POETIQVE DE LA GVERRE PARISIENNE. Dedié aux Conseruateurs du Roy, des Loix, & de la Patrie. Par M. Q. dit FORT-LYS. DIXIESME SEPMAINE. , françaisRéférence RIM : M0_1763. Cote locale : C_4_38_10.
SVITTE DV IOVRNAL POETIQVE DE LA GVERRE PARISIENNE. Dedié aux Conseruateurs du Roy, des Loix, & de la Patrie. Par M. Q. dit FORT-LYS. DIXIESME SEPMAINE.
ENDOSSONS le harnois, ne quittós point les armes C’est maintenant qu’il faut se monstrer vrays Gensd’armes ; Celuy qui nous trahit ne doit rien esperer, Que ce qui fait en bref vn fol desesperer ; Il pretend de dompter la force d’vne Ville ; Et ruïner, malin, vn milion de famille. O ! Dieu, qui regis tout, empesche ses desseins ? Et confonds ces fiers taons qui minent tes Esseins.
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