Anonyme [1652], L’AVANT COVRRIER DE LA COVR, OV LE GVIDON FRANÇOIS, Disant les Veritez. , françaisRéférence RIM : M0_440. Cote locale : B_14_43.
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Mais comment le Conseil a il receu telles
canailles à l’ouuerture des affaires secrettes
& de l’Estat de la France ?

Quand à moy bien que Courrier, &
que ie ne dois passer outre à ce qui est de
mon message, ie suis contrainct de dire la
verité, comme seruiteur de mon Dieu &
de mon Roy, que le Ciel regarde en pitié ;
joinct que le Guidon François, duquel ie
suis porteur, decide les affaires de la France,
& sans offencer S. Iean, ie diray que
ce discours n’est pas digne de dénoüer
la courroye de ses soulier.

FIN.



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